Cet article est passé devant tous les autres,
en cette fin d’année 2008, numérologie d’une année instable
Tout le monde se demande ce qui peut nous tomber sur la poire. Compte tenu de tout ce qui s’est passé en 2008, on a nettement de quoi se poser des questions…………….
L’instabilité de 2008, 2008, numérologie d’une année instable:
2008, additionné, ça donne 10 (8+2)
10 de la roue de la fortune, de l’instabilité. Le contexte de chacun varie, d’une personne à l’autre.
Pour certains, ils trouveront toujours une possibilité de bouger, de sursauter, de rebondir comme on dit.
Certains coulent, d’autres s’en sortent.
Quelqu’uns coulent, et doivent eux aussi se réadapter à autre chose, à d’autres situations.
Le 10 évoque aussi bien, l’instabilité qu’une stabilité tout à fait relative. Ca a l’air stable, mais un grain de sable dans l’enrouage, même bien huilé, et c’est une chute.
Le 10 devient aussi 1. Il devient le bateleur, qui peut agir, faire bouger les choses.
Il peut agir, ou rester immobile, persuadé qu’il ne peut rien faire. C’est de la faute du contexte. Personne n’embauche entre autre chose.
En 2009, là aussi, comme pour n’importe quelle année, on additionne. On fait 2+9=11.
Le 11 de la Force. Le courage, la force de sa battre, d’aller de l’avant, d’avancer.
Le 11 de la Force peut aussi être le découragement, la faiblesse, impuissance totale. On ne se sent capable de rien.
Comme pour toutes les lames, le côté positif et le côté négatif, sont valables aussi bien pour la numérologie d’une année, que d’une date de naissance, que pour décortiquer n’importe quoi (adresse, no de département, no de téléphone, nom, prénom, appellation…….. tout)
Je suis, personnellement, très inquiète de ce que je vais entendre et voir dans l’année 2009. Peu de bonnes nouvelles, dans tous les domaines, et un gros lot de mauvaises nouvelles.
L’humain a abusé de tout, et surtout de lui-même. Il est devenu son pire ennemi. Il n’y a pas plus odieux qu’un être humain envers un autre humain.
La solidarité va en prendre un coup aussi, puisque les individualités vont de plus en plus ressortir.
Chacun ne pense qu’à soi. Il suffit de voir les gens en voiture. C’est n’importe quoi.
Plus de grandes choses seraient nécessaires pour redonner le moral. L’effort est d’abord individuel pour aboutir seulement ensuite à un effort qui sera naturellement collectif.
C’est trop facile de rendre l’autre responsable de sa propre immobilité. On se pose des questions parce qu’on on ne prend pas la peine de chercher soi-même.
D’abord chercher devant soi, pour se pencher ensuite sur le collectif